1. Bien identifier la somme à investir
Contrairement à un achat dans l’ancien, qui peut être synonyme de bien des travaux de rénovation et d’aménagement une fois la transaction réalisée, un achat dans le neuf semble plus facile à budgétiser. En effet, pour connaître avec une précision quasi parfaite le montant total de l’investissement, il suffit d’additionner le prix d’acquisition aux frais de notaire et aux frais bancaires associés. Posséder un apport personnel et prendre le temps de mettre en concurrence les établissements bancaires susceptibles de vous proposer une offre de financement peuvent également permettre de bénéficier d’une enveloppe plus conséquente et ainsi, de viser un bien mieux adapté à votre projet d’investissement.
2. Connaître les dispositifs d’aides
Acheter dans le neuf permet de profiter de quelques dispositifs d’aides de la part de l’État et particulièrement intéressants pour les investisseurs. Parmi ces derniers, on peut évidemment évoquer le prêt à taux zéro (PTZ) qui continue d’être proposé aux primo-accédants ainsi qu’à ceux et celles qui n’ont pas été propriétaires depuis deux ans. L’aide au financement est néanmoins conditionnée par le montant des ressources des investisseurs et par la situation géographique du bien immobilier et est donc à calculer au cas par cas. Nos conseillers sont à votre écoute pour calculer le montant maximum dont vous pourriez bénéficier.
Si le bien neuf est destiné à être loué par la suite, il sera alors possible de profiter des avantages du dispositif Pinel. Succédant à la Loi Duflot, ce dernier permet en effet de bénéficier d’une réduction d’impôts dont l’importance croît en fonction de la durée de location prévue (de 6, 9 ou 12 ans).
3. Sélectionner le bien immobilier qui vous convient
Troisième étape, et non la moindre : la sélection du bien immobilier à acheter. Chaque acheteur a des critères préétablis qui correspondent à un projet de vie. L’emplacement géographique, la superficie du logement, les prestations (jardin, garage, balcon, ascenseur ou non) sont autant de pistes qui permettent de faire le tri entre les biens susceptibles d’être élus et les autres. Pour vous aider dans ces démarches, nos conseillers sont à votre écoute pour trouver le bien qui correspond parfaitement à vos besoins.
Lorsque l’on achète une maison ou un appartement neuf, on choisit bien souvent son futur logement sur plans. Si certains acheteurs apprécieront tout particulièrement cet exercice, qui fait appel à l’imagination, d’autres éprouveront de grandes difficultés à se projeter dans des espaces qui n’existent pas encore. Dans ce cadre,nous proposons des visites virtuelles en 3D qui permettent de mieux rendre compte de la superficie et de l’agencement des pièces.
4. Réserver votre logement
Lorsque l’on achète dans le neuf, il est nécessaire de faire la différence entre deux cas de figure :
- Le bien est déjà construit : dans ce cadre, vous signez une promesse de vente auprès du promoteur et versez un acompte afin de réserver le bien.
- Le bien n’est pas encore construit : c’est ce qu’on appelle une vente en l’état de futur achèvement, soit une VEFA. Dans ce cadre, un contrat de réservation sera établi où toutes les informations sur le bien seront réunies. Donnant votre accord, vous vous engagez à acheter ledit bien à l’issue de sa construction.
Dans les deux cas, la vente ne sera finalisée qu’au moment de la signature du contrat, chez un notaire, de 3 à 6 mois après la validation du contrat de réservation.
5. La remise des clés
L’étape de la remise des clés est en réalité primordiale. Vous devrez vous montrer minutieux et concentrés afin de vérifier la conformité du bien avec les caractéristiques prévus dans le contrat de réservation. En fonction de leur nature, les vices peuvent être signalés et couverts au moment de la réception mais également un an après cette dernière (garantie de parfait achèvement), deux ans plus tard (garantie biennale) ou dix ans plus tard (garantie décennale).